Mes réparations / remise en état

Je n'ai pas essayé cette technique et elle me convainc peu.
Si je peux je préfère ouvrir le moteur, je suis sûr du nettoyage et je vérifie en même temps que rien ne traine dedans qui pourrait l'abimer.
Merci pour vos commentaires
A noter que les charbons sont fait pour être démontés. C'est plutôt sortir le rotor qui n'est pas toujours aisé (casse).

Merci pour l'information…
Je ne manquerai pas de continuer à vous suivre pour essayer d'apprendre comment nettoyer nos chers locos Bonne fin de journée…

Hello
Je reviens avec 2 machines bien connues ici puisqu'il s'agit de 2 françaises de chez PIKO, une 26000 et une 66000.
Désolé d'avance, j'ai fais vite et pris moins de photos cette fois, juste l'essentiel.

On commence par la 66000 qui fonctionnait mal et s'arrêtait parfois.
On retire les rambardes et la cabine et premier constat, picots d’intérieur de cabine cassés, heureusement à ce niveau ce n'est qu'un détail puisque l’intérieur de cabine est bien tenu par la cabine elle-même.


Premier constat, c'est pas très propre.


Les engrenages sont bons. Pas de fissure.


Les lamelles de contacts sont trop proches du bogie et parfois ne touchent pas bien l’intérieur des essieux.


Bon, là c'est un beau troupeau de moutons de poussière Va y avoir du boulot.


On continu de démonter.


Un essieu, hmm, avec plein de fil/poil entourés autour, une bonne pince à épiler et une aiguille.


Enfin, après un nettoyage complet et remontée, la machine, qui fonctionne bien mieux !



Démontage de la 26000 qui, comme certaines, a un de ses cardans qui parfois sort.

Ouverture des bogies. Pas mal de fils.



Moutons !


Aller, on dépouille tout. De toute façon il faudra régler les noix de cardans alors... L'astuce sera de décaler un (tout petit) peu les noix pour qu'elle englobent mieux le cardans quand les bogies sont au max d'un coté ou de l'autre (virage R1).


Les bogies et essieux propres, ça change !


La platine, RAS.


Et enfin remontée.


Après quelques essais sur du R1 Fleischmann avec des citernes aux fesses, les cardans ne sortent pas.
Je trouve quand même que la conception fait que cette machine n'aime pas le R1, ça braque trop pour ses petits cardans. L'idéal serait (peut-être) d'adapter le même système que dans la 63000 Roco : des ressorts qui font office de cardans. Ou un morceau de durite très souple.

Globalement on se souviendra qu'il faut toujours bien nettoyer son réseau et le couvrir quand on ne s'en sert pas.

Merci Julien et félicitations pour ce partage de ton travail qui potentiellement peut intéresser tout le monde. Tes explications sont claires et les photos les illustrent parfaitement. Un bon exemple de l'intérêt de ce forum !

Mais de rien ! J'essaye toujours d'apporter ce que je peux.
J'avoue que sur les 2 dernières j'ai mis un peu moins de détail mais c'était surtout et simplement du nettoyage.
Il faudrait peut-être que je fasse ds vidéos un de ces 4.

Je me suis aussi déjà demandé si un petit stand bricoloco sur une expo pourrait être intéressant/utile ?
Quand je vois d'autres petits stand de maquettisme, je me dis pourquoi pas.
A vous de me dire.

Le problème quand on suit ce fil, c'est que ca parait simple à faire...!!!!
Y a quand même quelques bestioles qui m'ont coutées pas mal de sueurs froides pour le remontage, sur les quelques unes que j'ai ouverte...
Je reste admiratif devant ton travail.
Un petit stand en expo est une bonne idée (ne serait ce que pour se rencontrer, déjà )

michel.b01 a écrit:

.../...Un petit stand en expo est une bonne idée (ne serait ce que pour se rencontrer, déjà )

+1

Salut à tous ,
Et merci Julien ;
En ce qui me concerne je n'ai jamais voulu démonter cette 66000 de Piko , me demandant si j'arriverais à la remonter correctement sans casse , ton facilité dans ce domaine montre qu'avec de la patience et du temps ça doit se faire .
Ces matériels n'ont plus rien à voir avec le démontage des BB 9200 Arnold des années 1967-70 , qui se démontaient , nettoyaient remontaient les doigts dans le nez , en moins d'une demi heure et en prenant son temps ...
Amicalement

Merci pour vos encouragements.
C'est vrai que les anciennes machines (exception faite d'une très grand majorité de vapeurs) se démontent plutôt facilement.
Pour le stand je vais y réfléchir car il faut que j'y ai des choses à faire, si ça ma prend qu'une demi journée sur 2 jours d'expo c'est pas top, ni pour moi ni pour les visiteurs.
Mais déjà nettoyer des machines (et je pense que les machines qui ont besoin d'être nettoyée ça ne manque pas) serait une bonne occupation.
Et puis y'a la peur de laisser son stand vide, si je veux faire un tour/trainer dans l'expo.
Faudrait que je couple avec un stand plus grand ou y'a toujours quelqu'un pour garder un œil sur le matériel et les outils.

Aujourd'hui c'est au tour d'une BB Fleischmann, la 15006 TEE.


Pour moi, ces machines (nez cassé SNCF fleischmann, mais aussi les BR218 par exemple, qui sont de même conception) sont une réussite : elles sont simples, facile à démonter, donc à entretenir et par conséquent très fiable.

Quand on soulève la caisse on trouve donc ceci, et il est important de bien repérer où se trouve chaque pièce car au remontage, vous risquez de vous retrouver avec une machine qui fonctionne, mais à l'envers ! Dans ce cas il faudra inverser les bogies ou retourner le moteur, donc prenez des repères !
Vous noterez au passage que le basculeur de prise de courant panto/roues à été chinté (fil blanc).
C’est éventuellement le seul défaut qu'on peut trouver à ce modèle, si la caisse bouge trop et haut en bas, on perd le contact de temps en temps entre le contacteur dans la caisse et la platine.



On retire facilement les axes de roues et les bogies tombent avec les pignons principaux.
on notera les traces sur les plots de contacts qu'il faudra nettoyer.


On déclipse gentiment les contacts.


Et là on fait attention, ces pièces ont un sens, avec détrompeur.


On sort le moulin.


Observation des bogies, sales... on note la présence de petits copeaux qui à mon avis viennent d'une gomme de nettoyage, les particules étant restées sur la voie, la loco les a ramassé. Il y a également un attelage cassé. Les bandages on servi, mais ils peuvent encore durer.


Heureusement les languettes de contact sont en bon état. Les autres pignons aussi. On remarquera les gros moutons de poussnifs dans les bogies...


Démonté, nettoyé. Eau écarlate + gomme. Nouvel attelage.




On remonte. (plots de connexion nettoyés.) On oubliera pas les lampes.


Après avoir remis la caisse, la loco roule désormais impeccablement bien, très bon ralentit, le tout dans un silence qui ferait pâlir les productions modernes.

Ces machines souffrent aussi d'une peinture qui saute souvent sur les réservoirs en bas de châssis. Mais un léger coup de pinceau et on en parle plus. Ce n'est pas comme sur les Minitrix où se sont des pièces rapportées et qui sont très fragiles.

Désolé, pas de photo de la miss avec sa caisse, la machine était déjà vendu avant même son nettoyage, elle est donc reparti rapidement.

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Passons maintenant un autre modèle de chez Fleischmann, le BR614, ref 7434.


Sur ce modèle il faudra faire attention au sens de démontage et de remontage. Il faut d'abord monter le bogie puis mettre l'ensemble ensuite dans la caisse.

Voyons l'état. Seulement 2 essieux moteur et un seul à bandages (qui ont une sale gueule au passage...)


Les bogies arrières. Non non, ce ne sont pas des bandages mais bien de la crasse.


On ouvre. On tombe sur bon bloc de plomb.


C'est vraiment en sale état.


Toit retiré, la platine. On notera qu'un ergo est cassé, il était dans la caisse, je l'ai recollé à l'aide d'une bonne colle Cyanolite, impecc.


Le "bloc moteur".


Ici une vis à démonter pour retirer le contacteur qui remonte une polarité sur la platine.


Une fois le bloc sorti. Le pignon central est tel quel d'origine, sorte de chevron.


2 ampoules, on note le sens. Le bloc moteur fait masse comme sur pas mal de modèle, toujours important à savoir pour une digitalisation !


Moteur démonté. Le long axe permet d'atteindre facilement le collecteur pour le nettoyer.


On ouvre le bogie et on note le sens de montage des essieux !



Ca ne loupe pas, bandage dur, bandage qui casse.


Le bogie arrière. On note le sens des essieux.


Sale..


Même sur les emplacements qui réceptionnent l'essieu il y a de la poussière accumulée.


Propre à gauche, sale à droite. J'ai inversé la languette de contact sous le bogie pour repartir l'usure.


Remonté mais avec des bandages de fortune qui fonctionnent pas trop mal, découpés dans une petite durite, en attendant d'en avoir des bons.


On démonte l'autre, on note le sens.


On fera en dernier le bogie arrière de la remorque.


Conclusion : cet autorail faisait un bruit horrible au début avec un gros claquement régulier. Suite à ce nettoyage plus de claquement et bruit pas mal réduit. La remorque freine encore légèrement et avec un seul bogie moteur, il suffit de peut pour le faire peiner. Je retravaillerai le bogie fautif (avant) sur la remorque pour atteindre un bon roulement de la remorque.

Bonjour,

Je viens de me logger sur le site et suis tombé sur votre sujet en premier. Tout d'abord chapeau pour le travail de maintenance sur le matériel moteur, superbe boulot.
Superbe vitrine également qui met en avant votre matériel, et il y en a un paquet.
Comme je n'ai pas eu le courage de parcourir la totalité des posts, je souhaiterais savoir si cette vitrine est une création personnelle ou bien s'il s'agit d'un achat. Dans le second cas, pouvez-vous me tuyauter l'adresse du site chez qui vous vous l'êtes procurer. J'ai énormément de N qui dort dans leurs emballages et le mettre en exposition serait vraiment top.

Merci,

Bonjour Borsig93
Merci pour tes compliments.

Cette vitrine vient de chez vitrine24.de acheté via ebay et ne contient qu'un échantillon de ma collection (je ne veux pas abuser dans le salon donc je n'ai mis qu'une seule vitrine).
J'avais ouvert un topic à ce sujet : https://le-forum-du-n.1fr1.net/t22273-vitrine-murale-v85
J'ai mis 2 couches de blanc au pinceau. Je voulais le faire à la bombe au début mais rendu horrible, j'ai très vite abandonné après un simple essai !
J'en suis très content.
Juste qu'on ne peut pas mettre une rame TGV entière (10 éléments); il manque 2cm (il faut donc détaché le TGV à un endroit et le mettre en quinconce, ça se voit pas trop).
Il existe d'autres modèles de vitrine plus large où un TGV rentre, mais il n'y a pas autant de niveau.
Il existe aussi des modèle rainurés pour y mettre les essieux, mais j'ai préféré éviter.

Bonsoir Kinkin,

Merci pour le retour d'info. Je vais voir ce que cette enseigne propose. Et en fonction des prix, car je ne souhaite pas me ruiner, j'aviserais.


Borsig93

Thekinkin
Je profite de ce post pour te dire tout le bien que je pense de tes "tutos" depuis que tu les as commencés. Les photos sont indéniablement "didactiques" et apportent énormément aux explications que tu prodigues à l'occasion de ce que les débutants (et d'autres plus anciens...) manquent le plus de nos jours; à savoir la prise en main de A à Z d'un vieux modèle à réviser puisque bien souvent on les trouve à bas prix car en mauvais état mécanique le plus souvent. Donc, vive la sauvegarde de nos ancêtres en N...

Merci RaynalN
D'autres sont à venir, il faut que je trouve le temps courage

Bon, j'ai retrouvé mes cachets de Motivex et mes comprimés d'Envix.
Je me suis donc remis au bricolage.

Il y a un moment déjà que j'ai en ma possession 4 matériels moteurs que j'avais commencé mais pas vraiment terminé. Les ayant finis récemment je poste donc le compte-rendu des opérations.

Partie 1/3 : Picasso et 020 Arnold.

On commence par le plus simple, un Picasso Transmondia. Un bogie déboité (pas bien méchant) mais surtout un charbon cassé en deux, ça, ça ne se voit pas l’extérieur.


Ce fut donc rapide pour ce Picasso.


Ensuite une petite 020 Arnold qui n'avançait plus bien du tout.
Quand on regarde de près on voit les petits copeaux dorés qui trahissent une usure prononcée de la pignonnerie.


On ouvre, bingo ...


On voit les dégâts sur la vis sans fin.


Même si la réparation est simple, malheureusement je n'ai jamais pu retirer la vis sans fin de l'axe moteur (bloquée de chez bloqué) et ce moteur chez Arnold coute bien trop cher par rapport au prix de la loco. Donc abandon de la réparation, il faudra attendre un coup du hasard et tomber sur un moteur pas cher. Ou se servir de cette machine comme fournisseuse de pièces détachées.

Partie 2/3 : la BR55 de chez Arnold

Machine fonctionnant très mal voir pas du tout.

On commence par la vis principale. Vu comme ça on se dit pas qu'elle a du vécu.



Puis on soulève la chaudière et on constate quoi ?




L'axe d'entrainement n'est plus d'origine, il y a eu modification y compris du châssis. Faire la comparaison avec le PDF de la notice :
http://www.arnold-ersatzteile.de/mediapool/60/605716/data/Eigene_Dateien_3/2515_Dampf_BR_55.pdf


Le pignon moteur a pris cher également :




On constate aussi que les prises de courant sur les roues sont plutôt tordues, la saleté omniprésente et qu'il manque un bandage:








Notez la limaille dorée venant du pignon moteur :



Donc pas le choix, on démonte et on sort tout.
La châssis nu et sale :






Nettoyé :





Après avoir remplacé le moteur, nettoyé chaque essieu, remplacé le bandage, recalé les roues : premier remontage (je dis premier car il y en a eu plusieurs le temps de trouver la bonne courbe/pression des languette de connexion et le calage des roues).





Puis remontée définitivement. La machine a récupéré un bon ralentit avec un bon contact pour le courant. Je mettrais une vidéo si possible.
Seul regret, le moteur de remplacement (qui vient directement de chez Arnold) est plus bruyant que l'ancien, mais je suis content vis à vis de cette machine: sa restauration (si je puis dire) valait le coup car en ce qui concerne l'esthétique la machine n'a pas été touchée, elle a toujours tous ses petits détails.

Intéressant tout ça.

As tu une méthode pour recaler correctement un embiellage.
J'avoue que ce point me freine.

Derf a écrit:

Intéressant tout ça.

As tu une méthode pour recaler correctement un embiellage.
J'avoue que ce point me freine.

Je vais faire un petit tuto là dessus car il y a différents cas (essieux avec pignons ou sans, machine ayant déjà un souci ou pas etc)

Mais je vais d'abord terminé la partie 3/3 de mon CR.

Merci d'avance

mais prend ton temps, je mets le sujet sous surveillance comme ça je ne le louperai pas.

Partie 3/3 : la BR93 Arnold

Je pensais que celle-là allait être la plus simple, un changement de moteur, replacer le couvercle du dome de vapeur qui cache une vis (car perdu), et ça irait.
Mais en fait c'est celle qui m'a pris le plus de temps.

Elle fonctionnait mal, le moteur avait souffert. Un court circuit intermittent se faisant au niveau de la prise de courant du bissel avant et du châssis, les deux n'ayant pas la même polarité.
Le bissel avant capte le courant du même coté que les roues de gauche. Et le bissel arrière avec les roues de droite. Le bissel arrière transmet son courant capté direct via le châssis alors que le bissel avant passe par un orifice de la pièce en plastique qui représente les cylindres (cette pièce étant transversale), une façon de l'isoler du châssis.



Sur cette photo on voit le point de contact où il y avait le court circuit du bissel avant sur le châssis et ce que j'expliquais plus haut.




En détail :





Voyez le châssis, le moteur a laissé beaucoup de saleté.


Donc au final et encore une fois, je décide de tout démonter pour tout nettoyer.
Regardez le châssis, notamment cet avant qui plonge un peu (coté droit) :


Et bien c'est là qu'est arrivé le drame, en vérifiant le châssis ce dernier a cassé, la partie avant s'est cassé (désolé pas de photo), donc châssis -> poubelle !
C'est également à cette période où j'ai fais une pause car je saturais un peu...


Néanmoins dans la foulée j'ai demandé à Arnold si le châssis était dispo : oui.
Je commande. Et je reçois ça :


Version noir ! (OBB quoi...). Mail à Arnold pour les avertir, réponse: ça fait dix ans qu'on a plus de rouge !
Sympa de m'avoir prévenu...
Bref, va falloir faire avec le noir, et au final, ca ne jurera pas tant que ça.

Quand je m'y suis remis ces derniers jours, j'ai fais peu de photos par la suite car j'ai maximisé le temps pour la rendre à son propriétaire, cela faisant un bout de temps que je l'avais.

Nettoyage des roues :
Un essieu:


Les trois :


Un premier remontage pour voir si tout roule correctement. Fluidité du roulage sans rien, juste les roues couplées, pour voir.


Au final après pas mal de démontage remontage pour tout caler, la machine roule de nouveau correctement.
A noter que les rivets métal sont assez dur à sortir, il faut faire attention, y compris quand on les remet, ne pas appuyer trop fort au risque de voiler la roue. Mais il faut quand même qu'ils soient bien rentré sinon ils touchent les parties mobiles de l'embiellage !

Comme je disais, le châssis noir ne jure pas tant que ça au final (enfin, c'est mon avis).

Bravo ! Quel boulot! , j'en suis bien incapable....

Bonjour,
Travail impécable,je dit respect.

Ps:Je t'ammener ma voiture?

Salut à tous ,
Et félicitations à The Kinkin ; je ne démonte jamais un embiellage , c'est trop aléatoire et laborieux à remonter , outre le calage parfait impératif pour les essieux avec pignon , ça craint pour les rivets : les enlever sans rien casser et idem pour les remettre , et si en les remettant tu ne pousses pas assez ils risquent de tomber ...Si tu as des astuces pour caler les embiellages , je ne raterais pas ta publication .
Quand à la 020 T du début de ton article , je n'avais jamais vu autant de limaille de cuivre , elle n'avait sûrement pas vu souvent l'huile .
Félicitations et merci pour ta publication avec photos
Amicalement

Merci Vos posts m'encouragent à continuer.
@Francis: j'ai pas encore fini les miennes
@gufrero : je confirme, quand y'a en plus des essieux à pignons, ça augmente la difficulté.

En tout cas, plus un problème est compliqué, plus il faut le découper en petits morceaux moins compliqués. Étape par étape en général on y arrive.