Bonjour
Pas de nouvelles ne signifie pas inactivité !... Malgré que les congés aient entraîné une certaine baisse
d'activité, les travaux ont bien avancé depuis juin.
Tout
d'abors, le séjour bourguignon a été l'occasion de passer récupérer chez mon fournisseur préféré les reliquats
d'une commande
d'accessoires de
décor, qui, pour certains, ont rapidement trouvé la place qui les attendait.
C'est tout
d'abord un grand chêne qui a pris place dans le pré aux vaches :
Dans le village, c'est jour de lessive pour les femmes de la maison, tandis que monsieur fait un peu de
désherbage au pied des rosiers :
Côté maison neuve, les maçons s'affairent sur le mur de clôture :
D'autre en profitent pour tondre la pelouse de manière écologique (
) :
Par ailleurs, la construction du pupitre de commande,
démarrée fin mai, s'est achevée ce week-end. J'en ai ch... comme un beau diable pour régler mécaniquement la position de certains moteurs
d'aiguille, dont les "durs" empêchaient parfois tout mouvement.
Voici donc quelques images de la "bête".
Tout
d'abord une vue
d'ensemble : de taille assez imposante, mais cela permet de travailler aisément dedans. Et puis surtout, je le voulais mobile pour pouvoir piloter le réseau depuis n'importe quel côté, mais aussi pouvoir ranger le pupitre à part si besoin. Comme le réseau, chaque pied est muni
d'une roulette pouvant suporter plus
d'une trentaine de kg chacune, donc pas de soucis...
Vue rapprochée de la partie commande : le transformateur Fleischmann cédera la place à une alimentation plus modérable lorsque j'aurai trouvé un boîtier similaire aux deux précédentes...
Vue du TCO. Les LED permettent le rappel de la position des aiguilles. N'ayant pas fait l'acquisition de contacts de position sur les moteurs, le rappel se fait via une logique électronique couplée aux impulsions de l'interrupteur (avec comme seul inconvénient qu'à l'allumage du pupitre, l'état par
défaut de l'affichage est toujours le même, et souvent pas cohérent avec la position réelle de l'aiguille, mais bon... je m'en accomoderai via une action systématique sur tous les interrupteurs...
) Le schéma du réseau a été réalisé sur ordinateur et imprimé format A3, puis collé à la colle blanche et enfin recouvert
d'une plaque de plexiglas 1.2 mm
Comme indiqué plus haut, la mobilité du pupitre implique sa liaison au réseau via des câblots munis à leurs extrémités de connecteurs (merci les reliquats de commande CITADIS !...
)
Vue rapprochée des connecteurs, repérés de façon à retrouver facilement qui va avec qui et dans quel sens (évite de regarder à chaque fois le
détrompage)
L'accès au câblage se fait en ouvrant la partie supérieure, articulée via des charnières type piano
Plan rapproché sur l'arrière du TCO : LED maintenues en place dans leurs trous via des dominos, et connections sur les interrupteurs via des cosses type Fast-on.
Le câblage des aiguilles et du TCO, à partir des cartes électroniques assurant à la fois le pilotage des LED et la
décharge capacitive. Vu le prix des composants, j'ai fait une carte par aiguille comportant notamment son propre redresseur AC/CC, le circuit de
décharge capacitive et le circuit de pilotage des LED.
D'où le nombre important de câbles... Mais tout est duement repéré, donc pas de problème pour s'y retrouver
L'alimentation générale se fait au travers
d'un coupe-circuit standard, puis, pour les aiguilles et l'éclairage des maisons, via un transformateur 220 / 16 V, 1.5 A
Enfin, lorsque non utilisés, les câblots de liaison au réseau et le câble
d'alimentation 220 V principal sont lovés à l'arrière sur des tourets récupérés dans la benne à
déchets de l'usine (touret de fil à souder).
Voilà... La construction touche à sa fin. J'ai encore quelques améliorations et compléments à faire sur le
décor, avant
d'entamer la dernière grande étape : la mise en place
d'une caténaire. Mais je n'ai pas encore
décidé laquelle, sachant que j'espère notamment que m'sieur Penatti nous sortira la version 25 kV (que je souhaite installer, malgré que j'ai quelques engins mono 1.5 kV CC)
dès que la version 1.5 kV sera en rythme de croisière...
Salut !