Viesville 2.0

Bonjour,

Après moultes essais, dessins et corrections,  voici le plan final de mon futur réseau belge. Il diffère sacrément de la version initiale ( « Viesville, votre avis » https://le-forum-du-n.1fr1.net/t18435-viesville-votre-avis-merci?highlight=viesville). Mais bon ,c’est la vie.

Malgré l’aide de tous, je n’étais pas vraiment satisfait des résultats. Merci encore à Patpovil,  Patniste,  et tous les autres pour le temps passé à ce projet.
J’ai donc repris le problème par un autre bout, en partant de sa future gestion et pour en figer ses dimensions, en m’offrant la disponibilité complète d’une pièce à l’étage.

Je suis parti en digital voir du côté de RTC (gestion par ordi, version gold).  Un super beau programme, bien conçu, mais très cher. Heureusement sa version démo gratuite est très puissante. Avec l’aide du forum qui lui est dédicacé, mon projet a évolué pour tenir compte par exemple des longueurs de cantons, des distances de freinage, etc…
J’y ai aussi découvert combien le DCC est finalement complexe et  pas si universel que cela avec des soucis de fiabilités et/ou compatibilités ( Lenz n’est pas Esu qui n’est pas Rocco, qui n’est pas Digitrax, qui n’est pas .. etc).
Ceci dit, je suis certains que de nombreux amateurs y trouvent leur bonheur. Mais, ce n’est pas vraiment ma tasse de thé.
Ayant du matériel N belge ancien  avec peu de nouveauté disponible sur le marché, leur digitalisation posait problèmes, voire était carrément impossible.
Exit le digital.

Restait l’analogique piloté par ordinateur. Et là, le marché est très étroit et de peu de visibilité.

J’ai finalement atterri sur un site Suisse très sympa où un petit génie m’a fait évoluer vers la version que je vous présente ici.
Après tout, vous aviez été les premiers à me faire évoluer. Il était donc normal que je vienne vous présenter la version finale du bébé.

Les plans présentés içi ont été dessinés comme d’hab  avec le génial programme ANYRAIL 5 dont le cout est tellement dérisoire (39€) qu’il serait indécent de le pirater.

Il est divisé en 3 modules adaptés aux dimensions de ma pièce.
L’idée des modules étant de permettre un éventuel déménagement du réseau – après démontage des pieds- sans devoir tout casser.



Notez que le module n°3 a son bord droit // au mur de droite. Si, si, //. Non, Non, ce n’est pas une erreur. Cela vous semblera plus plausible quand je vous aurai dit que cette partie de la maison a été construite un siècle avant la naissance du roi louis 14. C’est dire si à cette époque, l’équerre ne devait pas être leur préoccupation première.

le réseau :
L’axe de voies respecte les normes MOROP ( http://www.morop.eu/fr/normes/nem112_f.pdf )  tenant compte des rayons de courbures : minimum de 45cm et très majoritairement largement au-delà.  ndlr : Patpovil et Patniste, je n’ai pas oublié 
Tous mes cantons sont banalisés ( circulation possible dans les deux sens), ce qui, selon les solutions informatiques, peut – ou non - compliquer les coupures et câblages

On commence la visite par le niveau -30. Il sera ma gare de stockage pour mes rames, ainsi que la voie (violet) dédicacée à  l’introduction des nouveaux convois dans le réseau. Vous comprenez ainsi le pourquoi du décrochage en bas entre le module n°2 et n°3.



On remonte ensuite en voie unique vers le niveau zéro : ce circuit est relativement long pour garder la pente inférieure à 2%.



Et on débouche sur le niveau zéro via une tranchée (içi dans le sens de la remontée, donc droite à gauche). Elle passe sous un pont HACK KN35 disponible sur http://www.fr.dm-toys.de/liste/massstab/id-1160/hersteller/hack-bruecken.html?page=2



Elle se raccorde à un circuit n°1 (bleu). Ce circuit bleu comporte la gare du sud disposant de 4 quais de 1m10.



Un  circuit n°2 (vert) s’y raccorde, lié à un circuit d’inversion du sens de marche du convoi. ( n°3 – rouge) plus à droite. Ces dernier cantons devront être spécialement bien protégé des courts circuits.



Un centre de tri (brun) est connecté au  circuit vert n°2. Pour le plaisir, j’y ai inclus ma plaque tournante Fleischmann 9152C.


Par contre, la problématique du dételage n’est pas du tout résolue. J’avoue ne pas encore avoir réellement cherché dans les forums.  Les solutions proposées sur les sites marchands sont chères et risquent de soulever de wagon s’il n’est pas exactement au bon endroit. Je ne sais pas encore, mais ai en tête un petit projet manuel à base de tringleries….petite idée pas tout à fait claire qu’il me faut encore mijoter un peu, après quelques surfs sur les idées de forumistes.

Tout ce petit monde se trouve au niveau zéro.

Vient ensuite (départ en bas à gauche), une rampe montant progressivement



L’idée de cette rampe est qu’elle aboutisse au Nord à droite à une hauteur de 7,5cm. C’est suffisant pour dégager l’espace en dessous et permettre le passage des voies des circuits 1 (bleu) et 2 (vert).
Toutes mes courbes peuvent dès lors avoir facilement des rayons très larges.

Cette rampe se connecte aux hélicoïdes permettant de monter vers la gare située au niveau +25.

et voici le niveau +25 :



Elles aussi ont de grands rayons car j’avais la place (56, 59, 62, 65). Cela permet de garder une pente faible tout en ayant une différence de niveau appréciable par 360°. Avec le plus petit rayon de 56cm, j’obtiens, par 360°, une différence de niveau de 7,4cm avec une pente de 2,1%.

Elles seront cachées sous le plateau de la gare supérieure se trouvant au niveau +25



Ce plateau de niveau + 25 couvrira presque toute la surface du module n°3, sauf les 20 cms inférieurs pour laisser apparent les aiguilles d’entrée côté droit de ma gare du sud.

Et voilà le plan complet du niveau zéro



Le trafic sera régulé
• Dans les zones de manœuvres (« petit mouvements » à la SNCB)  par les feux triangulaires réglementaires. Ils seront posés à même le sol. Sont concernés la gare -30 et le centre de tri.



• dans les autres cantons ( « grand mouvements » à la SNCB) par les classiques feux bien typiques de chez nous.
Ils protègeront les voies normales  ( feux fixes)



et les contre voies ( feux clignotant) :




Et voili le voilou.


J’en ai entamé la construction physique des 3 modules.

Phase un : les trois modules.

Le caisson, en contreplaqué de 18mm en largeur de 10cms, classiquement collé et vissé :




Avec son recouvrement en panneaux OSB3 langueté pour éviter toute déformation et lui aussi collé & vissé sur la tranche supérieure du contreplaqué.



ce qui donne, Vue gauche :



Vue droite :



Il restera à y coller le liège en 2mm d’épaisseur que j’ai commandé à mon magasin de bricolage préféré.

Les pieds ( bois raboté de 4cm/4cm) munis de leurs roulettes.  Le bord supérieur du plateau est à 78cm du sol. Mon niveau zéro sera à 108cm du sol.




Ces roulettes me permettent de déplacer les modules très facilement car l’espace m’est compté : 40 à 45cm de libre de chaque côté entre modules et murs. Je peux ainsi aisément monter à 80/90cm d’espace libre si besoin d’un côté.

Morne plaine. Cette base toute plate sera ma gare cachée à -30cm. Elle n’a donc pas besoin d’être vallonnée. Je pourrais ensuite y poser mes chandelles pour construire le « vrai » niveau zéro et + 25, ainsi que ma tranchée vers cette fameuse gare cachée. Ce sera pour la phase trois.

Phase deux :
J’entamerai sous peu une partie moins rapide : souder des fils d’alimentation électrique (détection, ZA, puissance) sur chaque tronçon de voie ainsi que sur chaque aiguille. Je souhaite en effet n’avoir aucun souci de transmission de la fée électricité et ne fais pas confiance aux éclisses. Toutes les informations nécessaires sont  disponibles sur ce forum. Merci à tous pour ces pépites.

Pour ne pas déprimer, je compte travailler pas à pas : préparer une voie à la fois.  Apprendre à la poser, avec ses aiguilles et leurs moteurs sous table PM-1 ( aussi disponible à bas prix chez DM-Toys). Je compte terminer en préinstallant son câblage complet (puissance, détection, ZA, moteurs). Et seulement ensuite passer à la suivante. Etc. Je verrai ainsi ma gare se construire petit à petit. Cela me permettra de me faire mes armes et rectifier tout défaut. Tout sera totalement nouveau pour moi. Je m’attends logiquement à avoir des corrections à envisager pour que tout soit pile poil correct.

À +
Oups60

Bravo,sa promet   
Vivement la suite  

Voila un projet que je vais suivre.

Waou tu fais pas dans la demi mesure
Bon courage

Très beau projet !!  je vais suivre ça de près !

Merci,

Début de la phase 2 courant de la semaine prochaine.
je vous tiens au courant au fur et à mesure.

à+

Bonjour à tous,

J’étudie doucettement  la meilleure manière de câbler le bébé.
Et tant qu’à faire, autant vous communiquer mes élucubrations. Cela me permettra éventuellement d’être corrigé avant de tout mettre en œuvre.

Comme préalable, j’exclus toute barrette raccord à vis ( ce que nous appelons des « sucres »).

Elles sont bon marché, mais car je les trouve trop enclins à soit sectionner un câble fin, soit à se dévisser si mal serré. On oscille dès lors facilement entre trop ou pas assez serré.
Voici déjà un premier souci, sauf si je soude systématiquement tous mes raccords.

Je suis en PECO parce que ces appareils ont un ressort (assez dur) qui me garantit que si le moteur a passé le point dur, la lame ne peut être que OK. Dans le cas contraire, ce sera Pas OK. Il ne peut y avoir d'état intermédiaire à l'inverse d'une commande par servomoteur ou peut être par moteur lent.
Ils seront commandés par des moteurs sous table doubles bobines SEEP PM-1 (4,99€) qui possèdent des contacts intégrés de fin de course.

À notre échelle, une loco consomme entre 100mA et 700 mA.
Compte tenu de la règle des 6A/mm2, cela donne une section minimale de câble de 0,12mm2. Le pré-cablage d'usine des aiguilles PECO est réalisé en 0,19mm2.
J’envisage de prendre un peu de sécurité et de câbler l’alimentation des aiguilles en 0,25mm2. Par contre, la rétro-signalisation ainsi que l’alimentation des signaux lumineux qui nécessitent très peu de puissance va se faire en 0,19mm2.
Un fournisseur de câbles qui semble intéressant est http://www.e44.com/.
Pour la commande des moteurs PM-1, vu l’impulsion importante nécessaire,  je vais passer directement en 1,5mm2.
Bien.

J’ai pris comme exemple une TDJ électrofog E390F de PECO avec ses deux cœurs conducteurs.

Voici le schéma de principe de fonctionnement :



J’ai met de suite mon grain de sel en modifiant légèrement les cœurs de manière à éliminer ce qui me semble une source potentielle de court-circuit :

« C’est facile et cela peut rapporter gros ».

La première solution de câblage est d’utiliser directement les contacts de fin de course :


Un feeder moteur ( 2,5mm2) me permet d’alimenter le commun de tous ces moteurs. Il est en effet entendu que les moteurs de peuvent pas fonctionner tous en même temps sous peine de griller mon alimentation. Je me repique ( ici soudure ? ) sur ce feeder avec du 1,5mm2 jusqu’à chaque commun des  bobines moteurs.

Cette solution, quoique très simple, me dérange car j’ai un peu peur de la fiabilité long terme de ces contacts  fin de course qui me semblent un peu juste.

Par contre, si je les utilise pour commander des micro-relais, le courant qui va les traverser sera alors nettement plus réduit, ce qui allonge de facto leur durée de vie.
Et zou, cela donne ceci :



Ces relais sont placés près de l’aiguille.  J’y ajoute deux feeders en 1,5mm2  pour l’alimentation des bobines de ces relais. Je m’y repique avec du 0,19mm2.

Si j’y ajoute une rétro-signalisation, il suffit d’ajouter 4 petits câbles en 0,19mm2.



Bien, simple finalement.

Mais bonjour la maintenance avec tous ces relais dispersés un peu partout sous ma table. Je vais en avoir au moins 200 ( 2 par moteur et j’ai au minimum 100 moteurs).

Mon idée est alors de regrouper tous ces relais à un seul endroit.
Cela pourrait donner ceci :


Elle n’est pas finalement pas plus compliquée que la version précédente.

Elle oblige par contre de tirer sur une plus longue distance 2 fils supplémentaires de 0,25mm2 pour la polarisation des cœurs d’aiguilles. Cela ne me semble pas désastreux, vu le cout faible de ces câbles 4 conducteurs ( 0,49€/M :  http://cablages.e44.com/cables/cables-multiconducteurs/cable-blinde-4-conducteurs-0.25mm2-4.2mm-100m-noir-FB4B100.html).
Au contraire, cela me permet un câblage propre car un seul câble à 4 conducteurs serait alors tiré.

Ok, donc, sauf que …. Il va me falloir de la place pour planquer ces 200 contacteurs.

C'est un peu une solution "à l'ancienne" comme avant l'informatisation de la gestion des réseaux.

Alors, finalement, pourquoi ne pas envisager de ne plus utiliser de contacteurs, mais de les remplacer par une gestion par transistors.
Cela donne :


C'est propre, c'est net.
C’est finalement la solution que je préfère.
Restera à trouver les cartes adhoc et comparer les couts avec la solution relais.

À +

Oups60

 c'est grandiose, voilas un réseau à suivre avec plaisir   

Moi aussi j'aime à suivre avec impatience   

Bonjour,

Et bé encore un artiste, en plus j’apprends en suivant tout ça !
Vraiment bravo ! vivement la suite   

Lolo

Bonjour,
Je dois dire que la rondelle qui assure le contact avec les pistes de circuit imprimé du moteur seep ne m'inspire pas confiance... De plus, elle court-circuite les 2 pistes lors de la commutation (pendant un temps très court bien sûr)...

Bonjour,
Merci.
Bien vu lucien2.  Je n’avais pas détecté ce souci de court-circuit. Je vais étudier cela de plus près.
Pour la fiabilité dans le temps, ce type de moteur existe depuis très longtemps.  Je n'ai pas trouvé de réaction négative à son sujet.
Tiens, un site très intéressant aussi : http://www.ngaugesociety.com/index.php?page=point-motors
Je te rejoins cependant sur cette rondelle. Note qu’elle commutera le cœur de l’aiguille avant que le train n’y arrive et/ou après qu’il ne soit parti. Donc sans aucun courant faute de consommateur et donc peu de risque d’usure du « contact ».
J’étudie quand même une commande complémentaire par triac. Le contact de la rondelle ne servirait plus qu’à alimenter la « gâchette » du triac pour le mettre en fonctionnement. On parle alors selon le type de triac d’un besoin sur gâchette par exemple de 10 à 50mA lorsque le consommateur (la loco)  arrivera sur l’aiguille.  Sachant qu’une loco en N consomme entre 100 et 700mA, je réduis donc drastiquement le courant passant dans la rondelle contact car seul le courant de la gâchette circulera dans celle-ci.
Je ne suis pas électronicien, mais d’après ce que j’ai pu comprendre, il reste que le triac a besoin d’un consommateur pour fonctionner. Tant que la loco ne sera pas sur l’aiguille, l’alimentation de la gâchette ne devrait servir à rien.   La loco va dès lors arriver sur une aiguille non alimentée, et  va seulement alors provoquer la réaction du triac.  Il me faudra voir si le délai de réaction du triac est perceptible dans le fonctionnement de la loco.
Si c’est le cas, j’envisage de placer un « consommateur » tel qu’une résistance permettant au courant d’amorçage de circuler dans le triac. Cette résistance laissera passer un petit courant, juste nécessaire pour faire passer le triac en mode « travail ». L'aiguille serait alimentée sans que la loco n'y soit présente.
De toute façon, il y a assez de forums pour obtenir de l’aide.
À propos d’aide, un site génial pour le débutant en électronique que je suis : http://www.sonelec-musique.com/electronique_theorie_triac.html . A consommer sans modération. IL a aussi une section « pur débutant » …. Où j’ai tout compris. C’est dire si c’est très bien expliqué.

Allez, il me faut quitter içi.

À +

Oups 60

J'utilise ces moteurs et la voie Peco (HO & N) depuis plus de 30 ans et jamais aucun problème. Je n'ai même jamais réalimenté un electrofrog.

ah, voilà une info tip top.
Merci derunnes.
as tu noté un souci de court circuit lors du passage d'un coté à l'autre de la rondelle ?

Non jamais, mais je n'ai pas de retour lumineux sur le TCO et je roule toujours à basse vitesse ( Anglais et US obligent), donc pas de soucis. Je suis les instructions Peco , j'utilise des PL-15 et tout mes automates sont en électromécanique.

oups60 a écrit:

..


Je ne suis pas électronicien, mais d’après ce que j’ai pu comprendre, il reste que le triac a besoin d’un consommateur pour fonctionner. Tant que la loco ne sera pas sur l’aiguille, l’alimentation de la gâchette ne devrait servir à rien.   La loco va dès lors arriver sur une aiguille non alimentée, et  va seulement alors provoquer la réaction du triac.  Il me faudra voir si le délai de réaction du triac est perceptible dans le fonctionnement de la loco.
..

Le triac est passant dès lors que la "gate" est correctement polarisée. Pas de soucis de délais donc (qui de toute façon serait faible puisque c'est un semi conducteur.)
Par contre, l'une des caractéristiques du triac c'est qu'il reste passant, même si sa gate n'est plus alimentée, à condition que le courant le traversant soit supérieur au courant de maintien. Je crains donc que s'il y a un court circuit lors de la commutation de l'aiguille, qui fait que les 2 gates sont momentanément alimentées, les triacs vont conduire tous les 2, court circuitant l'alimentation, et lorsque le court circuit de gate va disparaître, laissant une seule gate alimentée, l'autre triac va continuer de conduire, jusqu'à limitation du courant d'alim ou destruction des triacs.
Des relais solides seraient peut-être mieux indiqués.
Ou des bons relais électromagnétiques...plus de problèmes de conduction simultanée avec des relais 1RT ou 2RT.

Bonjour,
pour ne pas noyer ce post de divers sujets trop spécifiques, je vais les traiter séparément.
Le premier concerne l'utilisation du moteur PM-1 et de son installation physique.
Rendez-vous sur : https://le-forum-du-n.1fr1.net/t20084-pm-1#386390
Merci.
à +
oups60

Bonjour  les gars,

Je reviens d’une matinée passée à la porte ouverte des PFT dans leurs locaux de Saint-Ghislain. (http://www.pfttsp.be/).
Cette ASBL fondée en 1988 a pour objectif l'acquisition, la préservation et la mise en circulation des anciens matériels de la SNCB.

Un peu déçu car notre groupe d’amis a été agressé par deux fois par un Monsieur vraiment trop grossier. Désagréable, limite intolérable, quelles que soient les motivations de cet individu.
Et aussi, le mauvais temps n’aidait pas.....

Coté lumineux : ce qui sauve est le contact avec les vrais bénévoles présent, toujours aussi fabuleux.
Il y avait aussi un marché  de grande importance vraiment très bien achalandé avec de tout et encore plus.…. Juste qu’en N, c’est toujours un peu la misère, mais cela n’est là pas la faute des organisateurs. Ah, j’envie les français ou les Allemands ou les …, mais bon je veux stupidement du N Belge. j'ai quand même dégusté (visuellement) tout cet achalandage abondant.
J’y ai cependant trouvé mon bonheur avec des kepis d’époques que mes petits enfants pourront coiffer ( après réduction du tour de tête) lorsqu’ils viendront  m’aider à gérer le trafic intense qui s’annonce sur mon réseau .


Pour mon réseau, j’en suis toujours à mon niveau -30, et heureusement.
Cela me permet de faire, mais aussi de défaire lorsque je ne suis pas satisfait du résultat.
J’adapte aussi mon plan de base en fonction du « terrain » ( ndlr :bien vu pour une « morne plaine » car tout plat). Non, je veux dire que ce qui semble bien sur plan mérite parfois une légère adaptation lors de la pose des rails.  Par exemple, une courbe peut être plus ou moins prononcée sans mettre en péril le tracé de mon réseau.

La pose des voies avance petitement :


la plaque SNCB vient du marché de ce matin.


Bon, on jugera sur pièce lorsque la boucle sera bouclé et que je pourrais enfin faire tourner mon premier convoi.
Ah, oui, pour déterminer la fiabilité des micro-relais vendus sur internet ( site pro quand même), je les ai mis en test. On aperçoit la platine test ( avec les leds jaunes) sur cette dernière photo. Les détails suivront.


À +

Voilà de belles acquisitions qui vont plaire à tes enfants