Санкт-петербургский трамвай
Tramway de St-Pétersbourg
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Situation Saint-Pétersbourg
Russie
Type Tramway
Entrée en service 1863
1907 (traction électrique)
Longueur du réseau 220 km
Longueur additionnée des lignes 600 km
Lignes 39
Rames LW-68M, LAN-LAN, 86-97, LM-99, LVS-2005, LM-2008
Écartement des rails 1524 mm
Propriétaire Gorelektrotrans
Exploitant Gorelektrotrans
Réseaux connexes Métro de Saint-Pétersbourg
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La ville de Saint-Pétersbourg, en Russie était réputée pour posséder le plus grand réseau de tramway au monde. À la fin des années 1980, ses voies couraient sur environ 340 kilomètres. Depuis 1995, le réseau de tramway s'est fortement rétracté avec la suppression de nombreuses portions de voies en centre-ville. De sorte que les réseaux de Milan (300 km), Bucarest (342 km) et Melbourne (245 km) sont désormais plus longs. Si le réseau avait encore une longueur de 285 km en 2001, elle se limitait au début 2007 à 220 km parcourus par 38 lignes différentes. Il est exploité par Gorelektrotrans(russe : Горэлектротранс), une société municipale qui est également propriétaire du réseau de trolleybus
Histoire[modifier] Les débuts à traction animale[modifier]Saint-Pétersbourg a vu arriver le tramway dans ses rues durant les années 1860. Ceux-ci étaient alors tirés par des chevaux. Cependant, dès 1854, une ligne exclusivement réservée au marchandises avait été mise en service pour desservir une banlieue industrielle. En 1863, trois lignes destinées au transport des personnes ont été mises en service dans le centre-ville. Les entreprises privées se sont multipliées, et à l'apogée du réseau à traction animale, on comptait 25 lignes et plus de 100 kilomètres de voie. Cet ensemble transportait alors plus de deux millions de passagers par an.
La première démonstration d'un tramway électrique a eu lieu le 22 août 1880 à Saint-Pétersbourg. L'ingénieur Fiodor Pirotsky qui a présenté ce tram au public, espère que le Horsecar Stock Company, qui possédait le monopole sur tous les transport ferroviaire dans les rues de la ville étudierait le remplacement des tramways tirés par chevaux par des voitures ferroviaires électriques. Bien que tous les tests aient été couronnés de succès, la proposition de Pirotsky a été rejetée au motif que l'équipement des voies existantes de tram pour la traction électrique et l'achat ou la construction de véhicules serait trop coûteux.
Premier service de tram électrique sur la Neva geléeAu cours de l'hiver 1894, le tramway électrique est revenue à Saint-Pétersbourg. Cette fois, ils ont circulé sur des voies posées sur de la glace (pendant la saison d'hiver) recouvrant la Neva. Une entreprise de transport publics électriques a été formée, et plusieurs lignes traversant le fleuve en divers endroits ont été exploitées. Car si la Horsecar Stock Company possédait le monopole du transport sur voie ferrée dans les rues, en revanche, elle ne disposant d'aucun titre lui assurant l'exclusivité à la surface des cours d'eau gelés.
L'électrification
Le 3 septembre 1902, le contrat entre la ville et la société la Horsecar Stock Company a été rompu, et tout le système ferroviaire, c'est-à-dire les rails, wagons, des chevaux, les bâtiments et autres équipements, est devenu propriété de la ville de Saint-Pétersbourg. Cependant, la ville a dû payer à la compagnie pendant encore 12 ans une indemnité pour la reprise du réseau. Immédiatement la municipalité de Saint-Pétersbourg a commencé à planifier son futur réseau de tramway électrique, qui devait se substituer aux tramways à chevaux vieillissants. Un certain nombre de questions devaient être résolues, en particulier, les voies légères et à écartement étroit devaient être remplacé par de nouvelles plus lourdes et de meilleur qualité; le réseau a dû être électrifiés, et de nouveaux dépôts adaptés à l'entretien des tramways électrique ont dû être construits. Le projet a été concédé à l'entreprise américaine Westinghouse Electric Corporation.
La période post-URSS
Après la disparition de l'Union soviétique, les transports publics à Saint-Pétersbourg ont été constamment sous-financés, d'où le manque d'entretien et de services peu fiables. Un grand nombre de voies ont été démolies, et la tendance se maintient jusqu'à aujourd'hui, ce qui pénalise de nombreux passagers. Officiellement, le démantèlement complet du réseau n'est pas planifié bien que des suppressions massives de lignes ont eu lieu depuis 2001. Les deux dernières ouvertures de lignes remontent à 1999 pour relier les extensions résidentielles récentes dans le nord-ouest (Dolgoe Ozero, Komendantsky Aerodrom, Lakhtinsky Razliv) à la toute nouvelle station Staraya Derevnya du Métro de Saint-Pétersbourg. En 2005 et 2006, depuis le dernier changement dans la gestion de Gorelectrotrans de gestion en septembre 2005, plus de 20 km supplémentaires de voies ont été détruits, non seulement dans le centre de la ville, mais aussi une section de 3 km dans un quartier résidentiel excentré. Ces suppressions ont gravement fragilisés le fonctionnement du réseau et réduit sa capacité à répondre aux besoins de la population. De nouvelles fermetures de lignes sont programmées sous les pressions des lobbys routiers qui estiment que la baisse du trafic tramway donne plus de liberté à la circulation automobile et aux minibus privés qui suivent le même tracé.
État actuel
Voies du tram sur le viaduc au-dessus des voies de la gare AvtovoIl y a actuellement 39 lignes de tramway d'exploitation à Saint-Pétersbourg, dont 34 fonctionnant quotidiennement. Il s'agit des lignes 6, 7, 8, 9, 10, 16, 18, 19, 20, 21, 23, 24, 25, 27, 29, 30, 36, 38, 40, 41, 43, 45, 47, 48, 49, 51, 52, 55, 56, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 64, 65, 100 et A. Les autres fonctionnent les jours ouvrables seulement. Environ un tiers du réseau est exploité avec des fréquences de 10 minutes et moins. D'autres sections sont exploités à des fréquences allant jusqu'à 30 minutes, et les lignes centrales maintenues sont presque abandonnées avec des fréquences indigentes, vidées artificiellement de leurs passagers. Le parc de matériel roulant conserve tendance à la baisse, à l'automne 2006 il y avait environ 950 voitures exploité dépendant de 5 dépôts. La plupart d'entre elles sont anciennes et à caisse unique reposant sur deux bogies. Environ la moitié de la flotte est vétuste. Les achats de voitures neuves se limitent à 30 unités par an. Le tramway est pourtant l'un des symboles de la ville.
Équipement
Un tram de la série LVS-2005
Toutes les véhicules actuellement en service sur le réseau ont été construits localement par Petersburg Tram Mechanical Factory (PTMF) (russe : Петербу́ргский трамва́йно-механи́ческий заво́д (ПТМЗ)). La série KTM-5M3, qui a été produite dans la ville d'Oust-Katav dans l'oblast de Tcheliabinsk, a été utilisée à Saint-Pétersbourg jusqu'au 18 septembre 2007.
Les véhicules des séries suivantes sont actuellement en service :
LM-68M (ЛМ-68М) — 2 bogies, 3 portes, caisse unique, construits entre 1973 et 1978 par PTMF.
LVS-86 (ЛВС-86) et LVS-86M — 3 bogies, 4 portes, caisses articulées, construites entre 1987 et 1997 par PTMF. Mdésigne les voitures LVS-86 rénovées mises en service depuis 2003.
LVS-97 (ЛВС-97) — 3 bogies, 4 portes, caisses articulées, construites par PTMF depuis 1997.
LM-99 (ЛМ-99) — 2 bogies, caisse unique, construites par PTMF depuis 1999.
LVS-2005 (ЛВС-2005) — 3 bogies, caisses articulées, construites par PTMF depuis 2005.
Entre en 1907 et à la fin des années 1960, le réseau de tramway de Saint-Pétersbourg a utilisé des voitures construites au Royaume-Uni par Brush. Plusieurs voitures de cette série, ainsi que d'autres modèles anciens construit par PTMF sont maintenus en état de fonctionnement et peut être loués pour les occasions spéciales, comme par exemple un mariage ou une fête d'anniversaire. Tous les modèles de tramways exploités à Saint-Pétersbourg a été présentés dans une grande parade pour les 90 ans du réseau en 1997. Toutes les voitures historiques sont stockés dans l'ancien dépôt no 2 sur l'île de Vasilyevsky qui n'est plus utilisé pour abriter les trams servant à l'exploitation quotidienne du réseau depuis janvier 2007. Les amateurs qui entretiennent ce matériel dans le dépôt et le musée craignent pour l'avenir de cette collection unique, considéré comme étant l'une des meilleures en Europe, en raison de cette évolution
Baltiiskaïa station ( métro )
Vitebsky railway terminal
Sestrorestsk station ( trouvé sur wiki swensk )
La Ville
Saint-Pétersbourg Санкт-Петербург ( In 1914 the name of the city was changed to Petrograd (Russian: Петроград; IPA: [pʲɪtrɐˈgrat]), in 1924 to Leningrad (Russian: Ленинград; IPA: [lʲɪnʲɪnˈgrat]) and in 1991 back to Saint Petersburg. )
Jumelage Lyon (France) depuis 1993
Saint-Pétersbourg (en russe : Санкт-Петербург, Sankt-Peterbourg, API : /sankt pʲɪtʲɪˈrburk/ Prononciation) est la plus grande ville de Russie par sa superficie (1 439 km2) et la deuxième ville la plus peuplée (avec plus de 4,5 millions d'habitants en 2007), après la capitale Moscou. Elle est située dans le nord-ouest du pays sur le delta de la Neva, au fond du golfe de Finlande dans la mer Baltique. Capitale de l'Empire russe de 1712 jusqu'en mars 1917 (ainsi que la Russie dirigée par deux Gouvernements provisoires entre mars et octobre 1917), Saint-Pétersbourg a conservé de cette époque un ensemble architectural unique qui en fait une des plus belles villes d'Europe. Deuxième port russe sur la mer Baltique après Primorsk, c'est un centre majeur de l'industrie, de la recherche et de l'enseignement russe ainsi qu'un important centre culturel européen. Saint-Pétersbourg est la deuxième ville d'Europe par sa superficie et la cinquième par sa population
Saint-Pétersbourg, capitale culturelle
Saint-Pétersbourg est un centre culturel de premier plan. Destination touristique visitée chaque année par quelque trois millions de touristes étrangers, Saint-Pétersbourg propose notamment plus de 70 musées, tels que
le musée de l'Ermitage ou le Musée russe
Le festival des Nuits blanches
Au mois de juin (pendant deux à trois semaines) le soleil ne se couche quasiment pas : un festival international est organisé durant ces « nuits blanches » qui coïncident avec la fin de l'année scolaire. Des représentations musicales et théâtrales exceptionnelles sont organisées mais également des spectacles plus populaires auxquels assistent un grand nombre d'habitants : concerts de musique de variétés, feu d'artifice, joute navale, etc.
une photo que vous comparerez avec une autre plus haut dans ce sujet N-igme
un monument célèbre
( j'ai cette photo avec un de mes deux fistons , posant devant , suite à son stage loin par là chez Neurosoft )un autre mode de transport rapide : l'hydrofoil
( et wikipédia
anglais sur St Petersbourg ......cette partie ne figure pas dans wiki france ! ! ! ) ouf ! ! ! notre modo en a réchapé ! ! !
CrimeSee also: Crime in Russia
The Kresty prison.The crime dynamic in Saint Petersburg is tightly associated with the general social situation in the country. A sharp spike in the crime level occurred at the end of the 1980s – beginning of the 1990s as a result of Perestroika-time turmoils (redistribution of property, privatization, decline of living standards, decrease of the effectiveness of militia etc.) By that time the city had fallen under the control of a number of organized criminal groups such as Tambov Gang, Malyshev Gang, Kazan Gang and ethnic criminal groups, engaged in racket, extortion, paying off local government, and violent clashes with each other.[78]
After the assassinations of City Property Committee Chairman and vice-Governor Mikhail Manevich(1997), State Duma deputy Galina Starovoytova (1998), acting City Legislature Speaker Viktor Novosyolov (1999) and a number of prominent businesspeople, Saint Petersburg was dubbed Capital of Crime in the Russian press.[79][80] There were a number of movies filmed in Saint Petersburg about the life of crime; Banditskiy Peterburg: Advocat,[81] Brother (1997)[82] reinforcing its image as the Crime Capital of Russia.
According to official sources the number of crimes committed by foreigners in Saint Petersburg in 2010 increased by 11.1%. Law enforcement authorities consider it is associated with an increased number of people from some CIS republics who live in Saint Petersburg illegally.[83] On the other hand, some media reported that in recent years there had been a notable increase in racially motivated violence, in particular towards foreign students.[84] One of the notable white supremacist groups, Belaya Energia (White Energy, inspired by US White Power group), has reportedly been one of the gangs involved in murdering foreign university students.[84]
The official portal of the Government of St. Petersburg provided data on significant improvement in the crime situation.[83] In particular, it is reported the number of crimes against tourists has decreased by more than half during 2009–2011.
In 2012, Canada's Department of Foreign Affairs warned LGBT travellers about a vaguely worded law in St. Petersburg (which came into effect on March 17, 2012) that makes it a criminal offence to publicize acts of male or female homosexuality, bisexuality, or transgenderism. It is purportedly designed to protect minors. A Russian travel advisory on the Foreign Affairs website notes that while homosexuality is legal in Russia (it was decriminalized in 1993), LGBT Canadian travellers should avoid "displaying affection in public, as homosexuals can be targets of violence… Public actions (including dissemination of information, statements, displays or conspicuous behaviour) contradicting or appearing to contradict this law may lead to arrest, prosecution and the imposition of a fine."
et un autre article sur le "cahors" de St Petersbourg
La Néva est un fleuve très court (74 km de long) mais son débit (2 510 m3/s) en fait un des plus puissants d'Europe : en effet la Néva collecte, via plusieurs lacs, les eaux d'un bassin versant de 218 000 km2 (2⁄5 de la superficie de la France). À Saint-Pétersbourg, la Néva est large de 600 mètres et la vitesse du courant est élevée. Sur les 74 km de son cours, 28 sont situés à l'intérieur des limites de la ville.
Jusqu'au XIXe siècle, les eaux peu profondes du golfe de Finlande arrivaient à recycler naturellement les effluents produits par la ville. D'ailleurs de nos jours, les eaux usées des 5 millions d'habitants et des nombreuses industries ne représentent toujours que 2 % des eaux déversées par la Néva. Mais, au milieu du XIXe siècle, une première épidémie de choléra et de typhus éclata à cause de la mauvaise qualité des eaux. En 1908, une épidémie de typhus fit 9 000 victimes. Le problème fut réglé en 1910 par une modification du lieu de captage des eaux de la ville. Dans les années 1950 et 1960, l'accroissement rapide de la population remit le sujet à l'ordre du jour. Circonstance aggravante les eaux de la Néva étaient alors très polluées avant même de pénétrer dans la ville : issues du lac Ladoga, elles étaient à la fois dégradées par les nombreuses usines installées sur le pourtour de ce lac et par la qualité des eaux des rivières alimentant le lac. Une usine de retraitement fut construite à l'époque mais, de nos jours, 25 à 30 % des eaux usées ne sont toujours pas retraitées. Le golfe de Finlande abrite essentiellement des espèces d'eau douce et quelques espèces d'eau saumâtre. L'écosystème qui les abrite est fortement menacé par les activités humaines.
Bonne journée sur le forum du N
éric ( pour cette fois wikitravailleur et suppléant aux fatigues post-touristiques d'un modérateur
)